Affaires sensibles
Renault : faux espions et vrais barbouzes
Lundi 25 avril à 23h05 sur France 2
Ce devait être une folle affaire d’espionnage, l’histoire d’un fleuron industriel français trahi par ses propres ingénieurs au profit de la Chine. En réalité, il pourrait s’agir d’une simple escroquerie. Dans ce scandale, trois ingénieurs ont été soupçonnés à tort par le numéro 2 de Renault évincé et l’image de son PDG, Carlos Ghosn, sérieusement écornée. Cette affaire, dont les protagonistes attendent encore le procès, a connu récemment un rebondissement étonnant.
Retour sur l’affaire…
Tout est parti d’une lettre anonyme adressée en 2010 à la direction de Renault. Le courrier porte des soupçons de corruption contre plusieurs ingénieurs du constructeur automobile français.
Renault confie l’enquête à la Direction de la Protection du Groupe. Ce service accueille d’anciens membres des renseignements. Dominique Gevrey, est chargé de faire la lumière sur ce qui semble être une grave affaire d’espionnage industriel et fait appel à une source anonyme, « le Belge ». Cet informateur affirme que trois ingénieurs disposent de comptes bancaires secrets en Suisse et au Lichtenstein.
En 2011, les trois cadres sont licenciés car accusés d’avoir vendu à la Chine les plans de la première voiture électrique française. Devenue publique, l’affaire s’emballe…
Fabrice Drouelle recevra en plateau : Matthieu Suc, auteur de « Renault nid d’espions » qui traite de l’affaire, et Benjamin Cuq, auteur du « Livre noir de Renault » en 2013 et d’un ouvrage sur Carlos Ghosn.
Ce devait être une folle affaire d’espionnage, l’histoire d’un fleuron industriel français trahi par ses propres ingénieurs au profit de la Chine. En réalité, il pourrait s’agir d’une simple escroquerie. Dans ce scandale, trois ingénieurs ont été soupçonnés à tort par le numéro 2 de Renault évincé et l’image de son PDG, Carlos Ghosn, sérieusement écornée. Cette affaire, dont les protagonistes attendent encore le procès, a connu récemment un rebondissement étonnant.
Retour sur l’affaire…
Tout est parti d’une lettre anonyme adressée en 2010 à la direction de Renault. Le courrier porte des soupçons de corruption contre plusieurs ingénieurs du constructeur automobile français.
Renault confie l’enquête à la Direction de la Protection du Groupe. Ce service accueille d’anciens membres des renseignements. Dominique Gevrey, est chargé de faire la lumière sur ce qui semble être une grave affaire d’espionnage industriel et fait appel à une source anonyme, « le Belge ». Cet informateur affirme que trois ingénieurs disposent de comptes bancaires secrets en Suisse et au Lichtenstein.
En 2011, les trois cadres sont licenciés car accusés d’avoir vendu à la Chine les plans de la première voiture électrique française. Devenue publique, l’affaire s’emballe…
Fabrice Drouelle recevra en plateau : Matthieu Suc, auteur de « Renault nid d’espions » qui traite de l’affaire, et Benjamin Cuq, auteur du « Livre noir de Renault » en 2013 et d’un ouvrage sur Carlos Ghosn.
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